19 juillet 2016
LES DISPARUS DU PHARE
Une fois de plus, Peter May nous entraine avec lui dans la lumière de ces îles magiques que sont Lewis et Harris. Dans ce décor, il nous livre une intrigue pleine de rebondissement et à la saveur sucré (miélé dirais-je).
Extrait : "Même par cette matinée on ne peut plus grise, l'eau est d'un bleu extraordinaire et donne l'impression de produire sa propre lumière." [p42]
De Peter May,
Traduit de l'anglais par Jean-René Dastugue,
Rouergue 2016,
Rouergue noir,
310 pages.
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