L'AFFAIRE DU CHIEN DES BASKERVILLE
C'est le dernier livre de Pierre Bayard (qui nous a régalé l'an dernier d'un "Comment parler des livres que l'on n'a pas lus ?") 165 pages à déguster. L'auteur défend (avec brio) les thèses suivantes:
1) Le crime raconté n'est pas celui que l'on croit
2) Le criminel échappe, par conséquent, à l'oeil acéré de Sherlock Holmes.
"Elle conduit surtout à se demander dans quelle mesure ce personnage maladroit d'assassin officiel, que tout désigne à l'attention dès son apparition, n'endosserait pas un crime trop grand pour lui et ne dissimulerait pas à son insu, tapi dans le texte depuis plus d'un siècle, l'un des assassins les plus diaboliques de l'histoire de la littérature." [p95]
Comment est-ce possible ? Pour le savoir . . . précipitez-vous sur ce succulent ouvrage.